Susan Cudris

Il était 13 h00, Susan arrivais enfin au 43 de la Rue de Constantine. elle était suivit par une dizaines de ces hommes qui étaient charger comme des mules. Lorsque Susan partais en mission a l'étranger, elle emmenait avec elle pratiquement toute sa maison.

- Messieurs, nous sommes arrivé, je ne pensais pas que que les bureaux était situé si loin du port, désoler. Rester ici, je vais allé chercher ma clée.

Elle entra par la porte en bois et elle vis au fond du grand couloir un petit homme balayant les escaliers, il s'arrêta net et s'avança vers Susan. C'était monsieur Denis le gardien de l'immeuble.

- Bonjour madame, vous devez être le commandant Cudris. je vous est reconnu, car cela fait plusieurs jours que votre photo circule ici.
- Bonjour, le commandant Lafleur vous avait prévenu de mon arrivée ?
- Oui oui, ne vous en faite pas. je vais chercher votre clé. Par contre pouvez-vous signer le registre qui ce trouve ici.

Monsieur denis donna la clée a Susan avec un petit sourire.

- Ce sont vos bagagistes qui attendent dehors ?
- Oui j'ai toujours peur de manquer de quelques choses.
- en tous cas, bienvenu chez nous. Votre GRANDE chambre ce situe aux 5ème étages. le commandant Lafleur vous recevra ce soir afin de vous présenter les loco et les membres de la flottille.
- Je vous remercie monsieur.

Susan sorti de l'immeuble et rejoignis ces hommes.

- Messieurs, il vas falloir être fort, très fort, mais mes cartiers ce situe aux 5eme étages.
- "OH NONNNNNNN !!!!!!!"[i]

Monsieur Denis, voyait d’un œil amusé passé la caravane de porteurs chargés de lourds paquets. A leurs visages on voyait que l’escalier de marbre résonnait pour eux tel le début d’un parcours qu’il regrettait déjà mais tant bien que mal il se mirent à grimper marche après marche jusqu'au dernier étage. La chambré de ces dames n’était plus occupé depuis quelques temps par autre chose que des souvenirs. Si et la un coin de photo jaunie claquait dans le vent qui entrais par la grande baie vitré ouverte sur l’intérieur de l’îlot urbain.

Je vous laisse vous installer, mademoiselle, si vous avez besoin de quelque chose n’hésitez pas à m’appeler… fit-il en indiquant le téléphone noir accroché au mur à coté d’une coiffeuse en bois de rose.